Sur moi... RL
Je resterai anonyme. Mon métier, ma vie privée ne me permettent pas d'identifier formellement ma vie RL (real life) par rapport à SL (second life). Cela me permettra en outre de m'offrir à vous librement comme j'ai décidé de vivre sur SL. Ma vie RL et SL restant intimement liée, je dois toutefois vous informer un peu sur ma vie RL qui influence mon avatar dans SL.
J'ai eu 26 ans en janvier 2007. Ma vie d'adulte est jusque ici très heureuse. J'ai même la conscience de jouir de la vie de manière privilégiée par rapport à tout ce que j'ai parfois vu sur cette terre jusqu'ici. Pourtant je n'en éprouve pas la moindre culpabilité, mais je me sentirais coupable de ne pas profiter pleinement de chaque heure, chaque minute , chaque seconde qui m'est offerte de vivre sur cette terre.
Pourtant je suis née différente. Mon père et ma mère travaillent tous les deux souvent à l'étranger, et ils ont du rapidement trouver une solution lorsqu'ils étaient partis en me confiant au bons soins d'une amie de ma mère qui avaient également une jolie fille de 3 mois mon aînée. A l'âge de 12 ans nos jeux quotidiens se sont transformés en explorations de nos corps, et nous connurent rapidement tout l'une de l'autre en ce qui concerne le sexe, nos désirs, nos sensations...
Nous étions très amoureuses l'une de l'autre, mais cela n'était pas perçu par notre entourage qui nous savait être les meilleures amies du monde.
Nous couchions ensemble quasiment tous les jours puisque nous partagions la même chambre. Sa mère m'as surprise un soir en train de lécher le minou de sa fille, elle au bord de la jouissance, les fesses en l'air et la tête dans l'oreiller pour étouffer ses cris de plaisirs.
Ce fut le scandale immédiat. Je fut jetée hors de leur maison, avec l'interdiction définitive de revoir mon tendre amour. Plus que cela j'ai été insultée pour la première fois de ma vie de débauchée, et d'être responsable d'avoir fait de sa fille une lesbienne. Il m'a fallu du temps pour comprendre qu'on ne devenait pas lesbienne. On l'était dès la naissance, et sa fille l'était elle aussi.
J'ai voulu mourir ce soir là. Mais j'ai la chance d'avoir des parents formidables et compréhensifs, pour qui le fait de mon attraction pour le même sexe ne représentait en rien une offense ou un handicap. Ce n'était pourtant pas facile pour moi d'assimiler ce fait. Je me suis sentie anormale pendant une grande partie de mon adolescence. Je me suis forcée dans un premier temps à côtoyer les garçons, et j'ai très vite voulu savoir en quoi c'était différent de ce que j'avais vécu.
Ce que les garçons avaient dans le pantalon est devenu l'objet de ma curiosité. J'étais fascinée par ce membre qui pouvaient sur une geste, un mot ou une idée se gonfler de désir. L'intérêt d'un garçon se résumait pour moi uniquement à voir comment sa queue était faite, comment elle réagirait avec moi, et si je réussirais à la faire jouir comme les autres. Une fois connue, elle ne m'intéressait plus, il me fallait découvrir une autre bite, encore et encore. Les aventures avec les garçons ne duraient pas, car les relations devenaient rapidement insupportable. Leur désir de possession, de jalousie d'une part , et l'ennui que je ressentait de répéter les même gestes avec un sexe connu d'autre part me faisait tourner court à chaque relation engagée. 3 semaines fut un record pour moi. Bien que petite, je suis pas mal foutue, et je crois avoir du briser pas mal de coeurs, sans toutefois vouloir faire le mal autour de moi. Je finissais par rompre directement après le premier soir afin justement que le garçon ne souffre pas trop.
C'est vers 18 ans, que je me suis tournée à nouveaux vers les filles, et redécouvert les frémissements que j'avais connus vers 12 ans.... Je suis lesbienne, il n'y a aucun doute la dessus, mais je pense devoir me définir comme "bi" puisque je ressent le besoin d'un sexe mâle de temps à autre dans ma bouche ou entre les jambes.
J'ai eu 26 ans en janvier 2007. Ma vie d'adulte est jusque ici très heureuse. J'ai même la conscience de jouir de la vie de manière privilégiée par rapport à tout ce que j'ai parfois vu sur cette terre jusqu'ici. Pourtant je n'en éprouve pas la moindre culpabilité, mais je me sentirais coupable de ne pas profiter pleinement de chaque heure, chaque minute , chaque seconde qui m'est offerte de vivre sur cette terre.
Pourtant je suis née différente. Mon père et ma mère travaillent tous les deux souvent à l'étranger, et ils ont du rapidement trouver une solution lorsqu'ils étaient partis en me confiant au bons soins d'une amie de ma mère qui avaient également une jolie fille de 3 mois mon aînée. A l'âge de 12 ans nos jeux quotidiens se sont transformés en explorations de nos corps, et nous connurent rapidement tout l'une de l'autre en ce qui concerne le sexe, nos désirs, nos sensations...
Nous étions très amoureuses l'une de l'autre, mais cela n'était pas perçu par notre entourage qui nous savait être les meilleures amies du monde.
Nous couchions ensemble quasiment tous les jours puisque nous partagions la même chambre. Sa mère m'as surprise un soir en train de lécher le minou de sa fille, elle au bord de la jouissance, les fesses en l'air et la tête dans l'oreiller pour étouffer ses cris de plaisirs.
Ce fut le scandale immédiat. Je fut jetée hors de leur maison, avec l'interdiction définitive de revoir mon tendre amour. Plus que cela j'ai été insultée pour la première fois de ma vie de débauchée, et d'être responsable d'avoir fait de sa fille une lesbienne. Il m'a fallu du temps pour comprendre qu'on ne devenait pas lesbienne. On l'était dès la naissance, et sa fille l'était elle aussi.
J'ai voulu mourir ce soir là. Mais j'ai la chance d'avoir des parents formidables et compréhensifs, pour qui le fait de mon attraction pour le même sexe ne représentait en rien une offense ou un handicap. Ce n'était pourtant pas facile pour moi d'assimiler ce fait. Je me suis sentie anormale pendant une grande partie de mon adolescence. Je me suis forcée dans un premier temps à côtoyer les garçons, et j'ai très vite voulu savoir en quoi c'était différent de ce que j'avais vécu.
Ce que les garçons avaient dans le pantalon est devenu l'objet de ma curiosité. J'étais fascinée par ce membre qui pouvaient sur une geste, un mot ou une idée se gonfler de désir. L'intérêt d'un garçon se résumait pour moi uniquement à voir comment sa queue était faite, comment elle réagirait avec moi, et si je réussirais à la faire jouir comme les autres. Une fois connue, elle ne m'intéressait plus, il me fallait découvrir une autre bite, encore et encore. Les aventures avec les garçons ne duraient pas, car les relations devenaient rapidement insupportable. Leur désir de possession, de jalousie d'une part , et l'ennui que je ressentait de répéter les même gestes avec un sexe connu d'autre part me faisait tourner court à chaque relation engagée. 3 semaines fut un record pour moi. Bien que petite, je suis pas mal foutue, et je crois avoir du briser pas mal de coeurs, sans toutefois vouloir faire le mal autour de moi. Je finissais par rompre directement après le premier soir afin justement que le garçon ne souffre pas trop.
C'est vers 18 ans, que je me suis tournée à nouveaux vers les filles, et redécouvert les frémissements que j'avais connus vers 12 ans.... Je suis lesbienne, il n'y a aucun doute la dessus, mais je pense devoir me définir comme "bi" puisque je ressent le besoin d'un sexe mâle de temps à autre dans ma bouche ou entre les jambes.