mardi 26 juin 2007

Insatiable !

Je n'ai pas eu beaucoup d'opportunité pour voir Ced ce week end, ma vie RL étant assez chargée. Je me devais toutefois de passer à la maison, puisque Ced avait REZ celle-ci et me demandais mon avis sur l'orientation par rapport à la plage.


Firan me contacta dès mon arrivée sur SL. Il voulait me présenter sa soumise Lara, avec qui il partage son temps sur SL. Lara est une très jolie fille, docile et fait la fièreté de Firan.

Je leur souhaite d'avoir une relation harmonieuse sur SL


En arrivant sur place à la maison j'eus plusieurs surprises: D'abord la maison était beaucoup plus grande qu'elle n'y paraissait, envahissante sur la plage. Il faudrait donc effectivement l'orienter differemment pour ne pas avoir cette impression de lourdeur. Par contre, les grandes baies et la terrasse permettent de jouir pleinement du paysage, ce qui est très agréable. J'eus envie de me rafraichir dans notre bain intérieur. C'est un endroit très agréable pour méditer. assez fatiguée par la journée, ce moment de relaxation était agréable. Ced arriva et me surprit dans mon bain.


Nous avions plusieurs points à discuter concernant la maison. Toutefois , il décida de s'occuper de moi d'abord, et de laison ensuite. J'avais envie aussi qu'il me prenne là dans notre nouveau logis. Un meuble fétiche pour nous servit à nos ébats de la soirée, un vieux fauteuil sans grand style, mais bien confortable pour baiser. J'avais mis un peu de lingerie en conséquence: soutien et culotte en soie blanche, ainsi qu'un porte jarretelle avec des bas blancs assortis.

Mes hauts talons enfin pour réhausser mes fesses et leur donner plus de galbe.


Ced bandait déjà dur, et s'enfonca dans le fauteuil pour que je le suce. Je décidai de ne pas toucher sa queue pour commencer, mais de m'occuper de ses couilles, roulant avec ma langue autour de chacune d'entre elles, les gobant parfois dans ma bouche. son sexe tel un gourdin me cognait parfois le front.
Avec application je lui lechait tout endroit situé sous sa belle queue. Je m'imaginais être une chienne à l'affut de tout endroit pouvant présenter un peu de gout pour ma langue avide. Mon petit abricot commenca à être moîte. J'attaquais maintenant la hampe. Son membre n'étais toujours pas décalotté, mais l'érection faisait apparaître un petit peu de son gland découvert par la peau de son prépuce qui tirait vers la base. Je décidai de venir lui têter cette petite partie de lui. Mes levres sans plus venaient se lover sur le sommet du gland. Ma langue tentait de s'insérer entre le prépuce et son casque de chair rose. La force de mes levre parut suffisante pour le décalotter. Ma main saisit alors la base de sa queue pour commencer un gentil mouvement de va et vient. La j'étais déjà vraiment humide que Ced me demanda d'enlever ma culotte. je me masturbais d'une main alors que de l'autre je m'accrochait à son sexe toujours dans ma bouche. Il m'assis sur ses genoux mes jambes écartées dos à lui, et me pris en avec toute sa vigueur en profondeur. Ses grand coup de reins et la position faisaient ressortir son sexe à chaque va et vien. Un vrai délice. Des petits bruits obscène sortaient de ma chatte à cause de l'air qui était prisonnier à chaque pénétration. Je me mis ensuite à califouchon vers lui cette fois, et c'est moi qui me faisais pénétrer en donnant mes propres coup de rein. C'est moi qui le baisait sa bite emprisonnée entre mes nymphes gournandes.


Nous jouimes quaziment en même temps, Ced un peu avant moi. Il s'abandonna au fond de mon vagin, déversant sa liqueur blanchatre dans mon ventre. J'étais terrassée, mais Ced, lui, pas du tout. Toujours dur il voulut remettre le couvert. Etant sa compagne, je m'executai pour lui faire plaisir. Je terminai par le sucer, et la bouche ouverte devant son membre fier, il jouit une deuxième fois sur ma langue qui servirait d'assiette pour mon repas de minuit.


Son sperme toujour riche parfuma ma bouche de ce gout typique et enivrant dont j'éprouve souvent le besoin. Ced n'en n'avais pas fini avec moi. toujours dur, il voulait encore. Je lui offrit mon cul, le dernier trou qu'il n'avais pas honoré ce soir et qui lui appartient aussi.

Il ajusta son gland à l'entrée de mon anus, et m'encula en me pénétrant d'une traite sur tout son long. Mes chairs internes le recevait, et je percevais les matières dans laquelle il plongeait sa queue se meler à celle-ci. Un peu génée, je lui dit que j'allais sans doute devoir lui nettoyer la queue après car celle ci ne serait sans doute pas très propre. Ce à quoi il me répondit que c'en était bien son intention. Il s'appliqua à m'assener des coup de bites rapide au fond de mon cul.

Il déchargea enfin une fois de plus en moi mélangeant son sperme à d'autre matières intimes dans mon corps.

J'étais épuisée, et des images revinrent en têtes à nouveau: la punition suite à la vente avec Manak, et puis toujours cette soumission avec ma maitresse, m'obligeant à me faire enculer sans avoir le droit de rouspeter. Avec Ced, ma relation actuelle, c'est une relation voulue de soumise également. Je suis là pour son plaisir, pour sa bite. Si en retour j'y éprouve du plaisir, tant mieux, sinon, c'est mon devoir de lui servir de receptacle pour vider ses couilles quand il veut et ou il veut. Là ou c'est très intéressant, c'est que cette situation me serait absolument INSUPORTABLE en RL, alors qu'elle est jouissive en SL. Sans en avoir une idée claire, je suppose que certains paradoxe naissent du moi et du surmoi. Ceux si génèrent des phantasmes, ou des pulsions contradictoires interdites. Elles restent toutefois très chargées en excitation sexuelles. La question qui me trotte dans la tête est: suis je seule à ressentir ça ? Suis-je normale ou non ?

Je lui nettoyai la queue soigneusement avec la langue, prenant soin de bien lecher autour du frein, là ou des petits bouts de matières peuvent s'accumuler. Il m'ordonna aussi de lui lecher à nouveau les couilles, vu qu'il avait transpiré assez fort dans l'entrejambe.

Docilement je m'exécutai.

...3 fois en moins d'une heure ! Je n'en ai jamais rencontré auparavant. Je ne me sens tout à coup pas de taille pour pouvoir satisfaire mon homme qui a de tels appétits sexuels.

samedi 23 juin 2007

Le nouveau nid


En attendant Ced , j'ai eu l'occasion de faire un peu de shopping. D'abord afin d'offrir à Ced quelques cadeaux: boxers, jeans, montre, et ensuite trouver le batiment qui va me servir pour mon nouveau skyhouse. Ce fut assez facile car j'avais en tête de retourner là ou j'ai acheté mes maisons précédentes. Mais cette fois ci, je voulais quelque chose de plus rond, moins anguleux, tout en pouvant fonctionner avec mon heliport. Un modèle faisait parfaitement l'affaire, mais j'avais des doutes sur la taille qui me semblait un peu grande. D'autre personne rentraient dans la maison modèle pendant que je mesurait l'intérieur: 3 filles qui allaient sans doute habiter ensemble. L'une d'entre elle ressemblait assez fort à moi, bien que plus grande. Bien sur statistiquement il doit y avoir quelques avatars qui me ressemblent sur les 7.500.000 résidents de SL, mais ca fait quand même un choc de croiser quelqu'un qui me ressemble. Pourtant cela ne semble pas poser de problème pour les garçons apparemment, car je rencontre souvent des mecs qui se ressemblent, en fait issus de l'avatar de base, non modifié à l'arrivée de SL. Quel manque de gout ! je comprend que les premiers jours sont nécessaires pour maîtriser SL, mais après un peu de temps, comment pouvoir accepter de rester dans une peau si commune, sans originalité. Cest un élément assez rédibitoire pour ceux qui prennent contact avec moi ces derniers temps, car cela trahit un manque de gout, d'intéret pour les autres, de simple estime de sois même. En gros, un avatar sans originalité cache une personnalité inintéressante.

En me comportant comme cela dois je conclure que je manque d'une certaine tolérance, ou alors que la médiocrité m'irrite ? SL, une fois de plus s'avère être un miroir tourné avant tout vers soi même, mettant parfois en évidence des aspects de notre personnalité que nous ignorions, ou que nous ne voulions pas aborder.

J'aurais souhaité entrer en contact avec cette fille qui me ressemblaient, mais elle m'ignorait toute absorbée dans cette conversation à trois pour l'achat de leur maison.

En une heure, j'avais réinstallé mon nouveau logis dans les nuages.
Une petite visite de courtoisie de Freyja, la compagne de Joshua, pour voir si tout se passe bien pour l'aménagement....
Il me faut à présent attendre de savoir les besoins en prims pour la maison principale pour pouvoir terminer la décoration. C'est sur que nous utiliserons le skyhouse comme endroit calme pour faire l'amour Ced et moi, il me faudra donc l'équiper en conséquences. J'ai justement trouvé de nouvelles boules animées assez sympatiques, modifiant l'expression des visages également.

A l'arrivée de Ced, je lui fit visiter le skyhouse. Il aime beaucoup. Je suis contente.

... Suraya, ma fille, tu es amoureuse jusqu'au fond des yeux !

Nous avons nettoyé le terrain pour notre nouvelle maison à venir.
Ensuite, nous sommes allé dans une grande surface spécialisées pour les articles "TIKI" en bambou. Ced y a vu une maison qui lui plait. Il me la fait visiter, et je tombe également sous le charme: vaste, avec 2 niveaux, mais très facile en déplacement interne, très ouvert sur l'extérieur pour profiter du paysage. en outre, il y a un bain, une zone de massage, un feu ouvert et un aquarium. C'est très agréable et je pense que cela fera une maison idéale pour nous deux. Nous en avons profité pour essayer un peu la zone de massage. Ced est un très bon masseur ^_^ . bien sur je lui ai rendu la pareille....

vendredi 22 juin 2007

L'annonce de la vente à Ced - Jeudi 21 juin 2006

Il me fallait à présent raconter cela à Ced, faire face à ses reproches, ses déceptions à mon égard, sa peine ou sa tristesse. J'étais terrorisée de lui annoncer. Devant un danger, ou un obstacle, je vais toujours au devant de celui ci. Je déteste laisser pourir quoi que ce soit. Je devais donc l'affonter de face, et lui expliquer simplement ce qui c'était passé.

Je n'osais pas faire de longue phrases, aux aguêts de chacune de ses réactions.

Bon sang, est ce que cela avait vraiment valu la peine. Je pouvais aussi ne pas lui dire, mais je sentais déjà depuis la veille cette boule dans le ventre de lui cacher quelque chose qu'il était en droit de savoir. Ne pas lui dire, c'était vraiment le trahir. Lui dire, c'était le respecter, lui montrer mon amour, avec mes faiblesses, et ma force de l'affronter même dans les cas difficiles.

Ah, pour ça , notre relation qui avait pris un nouvel élan était déjà éprouvée, testée, et malmenée, à cause de moi.

Comment pouvais je me faire pardonner. Je voulais faire l'amour avec lui hier soir, mais lui dire après ce serait à nouveau comme une trahison. Je devais donc lui dire avant. tout ce apssait donc comme cela devait, il n'y avaient pas eu d'autres alternatives.

Ced compris vite que j'avais quelque chose à lui dire qui n'était pas plaisant, et moi je sentais le poids d'une responsabilité énorme reposer sur mes épaules. C'était le point de non retour, et je devais y aller. Je lui annonçai ce qui s'était passé.

Il m'écouta, eut un petit moment de colère contenue, puis vint la compréhension, et le pardon.

Il était si gentil avec moi, si tolérant.



Me sentant sale devant tant de générosité, j'avais envie qu'il se fache sur moi qu'il me punisse.

Il n'en fit rien.



je devais au moins lui offrir mon corps pour le purifier à ses yeux, lui laisser remettre son emprunte sur moi.



Je commençai à le carresser par dessus son boxer, introduisant mes mains entre le tissus et ses cuisses, pour atteindre ses couilles, les flatter, les carresser. Ma bouche s'approcha de l'endroit tu tissus ou l'on devinait son gland pointer fièrement. Mon souffle chaud humidifia cet endroit alors que mon autre main, toujours dans son boxer, saisissait la base de son penis. Je tirais délicatement vers l'arrière afin de décaloter son gland. Que je l'aime cette queue, la partie de Ced qui est à moi seule et me permet d'inverser les roles. Dans ma bouche, dans mes mains, il est à moi. J'avais très envie de le prendre en bouche, mais il m'annonça tout de go qu'il allait commencer par me prendre par derrière et m'enculer. C'était évident que son choix irait dans cette direction après ce que je lui avait annoncé. La domination suprême de l'homme sur la femme passe par la sodomisation, ce petit trou sensé donner tant de plaisir au male, sans specialement en donner à la femme (toutes les femmes ne sont pas anales). J'étais heureuse de cette décision, car j'allais me sentir lavée des évènements précédent par cette sodomie de Ced.

Je m'exécutai, me mis à 4 pattes, et écartai bien les fesses pour offrir à son membre cette partie très intime. Je m'attendais à une pénétration forte, sans ménagement, mais Ced, y mit assez de douceur, tout en restant ferme, et s'enfonça profondément en moi jusqu'à la garde. Je sentais son gland fouiller mon ventre à chaque poussée. Chacun de ses coups de reins me libérait un peu plus de l'angoisse. Je voulais maintenant qu'il jouisse en moi, et je travaillais en serrant les muscles autour de mon petit trou à chaque pénétration, comme pour l'aspirer en moi.

J'introduisit plusieur doigts dans mon vagin pour ressentir également la poussée de son membre de l'intérieur. Je dégoulinais et il ne me faudra pas longtemps pour jouir, suivi très vite par Ced qui déchargea sa liqueur blanche au fond de mon cul, du plus profond qu'il pouvait me pénétrer.



C'était si bon..... je me demandai si les évènements avec Manak n'en étaient pas finalement responsable ? Dans un contexte de douleur ou de souffrance..... le plaisir est sans doute plus fort.............

jeudi 21 juin 2007

La vente de Caibarien

Manak me contacta pour l'achat de la maison. Il acceptait de payer le prix que je lui demandais, mais voulait également dans ce prix une nuit avec moi. Après mon engagement avec Ced, cela était hors de question. Il insista et me fit la court ma foi de manière très flatteuse. Il me dit que je représentait pour lui son idéal féminin, et que deppuis notre rencontre aucune autre fille sur SL n'arrivait à mon niveau, que j'étais le plus bel avatar qu'il ait rencontré, et que cela l'influencait même dans sa vie RL. Il m'avoua en outre avoir pris beaucoup de captures d'écrans quand nous avions fait l'amour jadis tous les deux, et qu'il les regardaient très souvent... pas seulement pour le plaisir des yeux hihihi ^_^
Je lui expliquai mon engagement irrévocable avec Ced, mon seul et unique amour sur SL, et que nous n'aurions plus la possiblité de nous toucher à l'avenir. Tout cela devait faire partie de ses souvenirs et rien de plus.
Il trouva formidable que je puisse tenir un tel engagement, alors que sur SL, cela n'engageait à rien que nous ayons éventuellement une aventure ensemble. Il suffisait de ne pas le dire c'est tout. Il y a tellement de lieux sur SL, qu'il était même possible de faire cela dans un endroit discret....
Je lui expliquai que l'important était évidemment pour Ced, mais plus encore pour moi. Je voulais rester fidèle à l'engagement que j'avais proposé, si dur et contraignant soit il pour moi, car je veux me prouver que je puis résister à ce genre de tentation. si en outre dans le même semaine, je renie une promesse faite, quelle image de moi pourrais je avoir encore après cela ?

Il était déçu, un peu triste de ne pas me voir ceder, alors que j'étais si facile il y a quelque mois. Triste sans doute aussi de ne pas avoir pu plus profiter de moi à ce moment là aussi.

Il me demanda une seule et dernière requete , condition de l'achat du terrain. Il voulait que je me déhabille, completement, que je sois nue devant lui au moment de la transaction.

Je lui demandai un peu de temps pour réfléchir. Bon finalement, me mettre nue devant lui, ce n'est pas tromper Ced. On est sur des iles, certains pratiquent le nudisme, et je le pratiquerai d'ailleurs probablement avec Ced encore à l'avenir comme nous l'avions fait récemment.
Ce qui m'embete un peu c'est le contexte évidemment. Me mettre nue pour une transaction financière reste une forme d'asservissement à l'autre. Avec en outre aucun alibi de plaisir de mon côté, non, juste offrir son corps à l'autre, à ses yeux même uniquement reste un asservissement. Nouveau dilemme en moi à ce moment là, entre la fièreté de refuser de m'abaisser à cela; de lui donner cette puissance sur moi.............. et l'excitation d'être obligée de le faire (toujours ces pulsions en moi ressenties lors de mon expérience de domination, lorsque j'étais obligée de me balader nue ou avec un harnais en public, derrière ma maitresse).
Je pensais à Ced... que ferait il à ce moment là ? Pour sur lui mettre son poing dans la figure d'abord. Mais je ne suis pas Ced, et j'ai terrain à vendre, avec une plus value, et l'envie d'en avoir vite fini avec Caibarien.
Si cela se passait, j'allais devoir raconter cela à Ced. Je ne voulais pas qu'il apprenne d'une manière ou d'une autre ce qui s'était passé sans que cela vienne de ma propre bouche.
Ced avait été très tolérant avec moi jusqu'ici, et je pensais que je peux prendre ce risque. Si Ced ne comprennais pas la situation et le contexte, et que notre relation cassaient juste après cela c'est qu'elle ne devait pas se faire entre nous. Dans la vie même en se fixant une échelle de valeur comme référence, certains cas nécessitent de pouvoir déroger à la règle.

J'acceptai donc et dit à Manak de préparer la transaction pendant que je me déshabillait. Je sentais la honte monter en moi, le désir d'en finir assez vite. des images avec ma maitresse me passaient dans la tête en ce moment là et réveillait mes souvenirs d'excitation. Et puis Ced, mon petit Ced à qui je m'étais engagée , alors que j'éais à présent nue devant Manak. Si il était là en se moment et qu'il nous surprenaient ? Je frémissait à l'idée d'un quiproquo qui anéantirait notre vie future Ced et moi. J'étais nue à présent, et je lui demandai d'effectuer le payement qu'on en finisse. Il me signifiat qu'il manquait quelque chose. Quoi dis-je ? j'avais bien respecté les termes du contrat passé entre nous. Non me dit il, mon petit abricot n'était pas là ! Bon sang c'était pourtant vrai. lorsque je porte une jupe, celle ci s'attache sur mon ventre, et rend impossible le porte de celle ci en même temps que mon petit abricot.
La situation s'éternisait , je cherchais dans mon inventaire, et cela me semblait une éternité.
enfin, mon petit abrico apparut sur mon corps. Il me promit alors la transaction dans la minute, mais je devais lui permettre de pouvoir me regarder une dernière fois, partout.
Mon dieu, j'étais vraiment très génée. Je sentais son regard posé sur moi, sur chaque centimètre de ma peau. Il agrémentait en outre de petits mots gentils sur les parties de mon corps, mes seins, mon petit abricot. Sans doute un dernier essai pour me tenter, me faire ceder face à lui. Je restait de marbre, et j'attendais que la transaction s'effectue. Il m'annonça soudain que c'était fait, et effectivement, la somme était sur mon compte. je voulais me rhabiller vite et quitter cet endroit. Les fringues mettaient un temps quasiment anormal pour recouvrir mon corps.
enfin, ca y était. C'était fini, l'argent était sur mon compte... une jolie somme que je décidai de reconvertir le soir même en US$, ne voulant pas que cet argent un peu sale ne soit utilisé dans SL Manak me remercia encore, et me dit que Ced devait bien avoir de la chance d'avoir une femme comme moi sur SL. Il espérait trouver une perle comme moi aussi, mais il doutait fort que cela pouvait exister.
J'avais subi en quelques minutes, la honte, la rage, accompagné des plus beaux compliment que l'on puisse me faire sur SL. Tout cela se bousculait dans ma tête, mais je me dit qu'il fallait comme pour toute chose, mettre cela de côté. C'était déjà du passé, et seul le présent et le futur méritait mon intéret.
Manak ajouta encore que j'étais la bienvenue à tout moment chez lui, et que jamais il ne me forcerait à quoi que soit, que mon amitié était déjà un bien très précieux pour lui.

Voilà, je ne suis plus propriétaire depuis ce jour, mais toujours résidente bien sur.

Tous mes lecteurs m'excuseront contrairement à l'habitude, de ne pas avoir de photos à fournir sur cet évenement. Tétanisée que j'étais pas la situation.

Pardonnes moi Ced pour ce que j'ai du faire, mais je te suis restée fidèle comme je te l'avais promis.

Lettre à Adore


Bonjour Adore ma chérie,

un grand changement dans ma vie SL vient d'arriver ce WE. Ced et moi allons former un couple officiel sur SL.


Tu ne peux pas imaginer comme je suis heureuse. D'autre part nous allons quitter Caibarien. Il a acheté un terrain sur une ile voisine que je lui ai fait découvrir, et nous allons habiter la bas tous les deux. Une nouvelle vie commence pour moi, totalement hetero, et dédiée totalement à mon chéri. Cela implique pour moi d'apprendre à être fidèle, et de réserver ma bouche, et mes petit trous à lui et uniquement à lui.

Cette situation paradoxale sur SL par rapport à ma vie RL est très excitante, et c'est une expérience que j'ai hate de vivre avec lui. Moi une fille pro active, je vais être entretenue, et vivre chez un homme, ... ce doit être reposant....

Tu dois être très déçue de cette annonce, car je sais que tu ne viens sur SL que parce que je suis là. Les espoirs d'ébats entre nous sont à présent réduits à néant par la décision que j'ai prise. Toutefois celle ci a été murement réfléchie. J'en suis très atristée tu sais car tu va me manquer terriblement.


Afin d'éviter des tentations inutiles entre nous, nous devons arreter de nous voir. J'y tiens absolument, car je pense que je suis capable de craquer si nous nous voyons à nouveau. Par amour pour moi et par respect pour ce que nous avons vécu, laisse moi poursuivre mon chemin sereinement dans les bras de Ced.


Adieu ma chérie. Je t'ai aimée, et tu resteras toujours pour moi après Ced la personne la plus importante de ma vie SL. Sois heureuse , et pardonne moi encore de te causer tant de peine. Je ne méritais pas sans doute....


Suraya

L'engagement

La visite de Tropical Coast avec Ced, fut assez simple et il fut relativement facile a convaincre. Il s’agissait simplement de choisir d’une part la passerelle, et d’autre part de décider suivant quel mode nous allions occuper ce nouveau lieu de vie. Allais-je être à nouveau propriétaire ? Ou allions nous l’être tous les deux Ced et moi ? Ou encore Ced allait il prendre l’initiative de devenir propriétaire et moi vivre chez lui ?


C’est cette troisième option qui me séduisait le plus, même si j’étais prête sans aucun problèmes à assumer mes responsabilités et investir à nouveau dans cette parcelle. L’idée de vivre dans l’environnement d’un autre sur SL, plus particulièrement dans la maison de Ced, mon amour, me séduisait. Nous avons abordé le sujet. Mais dans la foulée, j’en amenai un autre : la volonté de devenir sa compagne.

La situation me gênait. On en avait parlé vaguement il y a environ 2 mois, mais sans l’approfondir. D’autre part, je me souviens toujours de la réaction de Ced lors de notre première union sur SL. Je craignais qu’il ne prennent ses jambes à son cou et s’enfuie à nouveau. Et troisièmement, je respecte Ced, et je craignait qu’une étape dans cette direction mette à mal son environnement RL à l’avantage de SL. Et ça je ne le veux pas, car plus que toute autre chose, je souhaite le bonheur et l’amour à ce garçon RL qui le mérite largement. Je ne voudrais pas qu’il néglige son temps de sortie, ni même sa recherche de l’âme sœur pour se consacrer uniquement à moi, qui ne suit apès tout qu’une chimère, un paradoxe vivant.

Attendre qu’il me le demande était d’autre part une utopie, car me connaissant, il savait qu’il était primordial pour moi de distinguer l’amour et le sexe-plaisir, avec la volonté de garder ce dernier libre de toutes contraintes. Dès lors il n’aurais jamais pris les devant pour me demander de me mettre dans une situation que je ne pouvais pas accepter de par mes convictions. C’est pourtant dans la logique de SL, ce prolongement de ma vie RL, et qui me permet de vivre ou de tester ce que je ne pourrai jamais faire dans ma vie RL actuelle ; qu’il paraissait évident que je doivent me lancer dans cette vie SL hetero, fidèle, paradoxe de ma vie RL actuelle lesbienne et libertine.

Assis sur les marches d’un des pavillons d’information d’un des terrains à vendre, je lui annonçai tout de go l’envie de devenir sa compagne. Comme prevu la surprise fut la première réaction de sa part. comment pouvais MOI tout à coup lui demander cela. Selon moi, il a toujours espéré que je le fasse, mais par amour, il m’a toujours accepté telle que j’étais. Il m’a rappelé ce que cela représentait pour moi. La fin d’aventures avec les autres et un amour fidèle avec lui. Et la je compris que j’avais eu raison de lui faire cette demande, et par ce qu’il venait de me dire, il me signifiait qu’il souffrait, secrètement lorsque j’étais dans les bras d’un autre, sans d’oute d’une autre également. Mais par amour, et peur de me perdre sans doute, il était résigné ces derniers mois à accepter tous mes caprices, car il avait au moins la chance d’être à mes côtés. Je me devais de me donner à lui c’est évident, mais c’ést également ma volonté.


Ced accepta, et je me lis à pleurer sur mon clavier. Des larmes de bonheur, sans doute quelque chose qui devait arriver, et que je n’avais pas voulu voir, accepter comme evidence, au nom de principes de libertés que je défendais avec ardeur. Une grande plénitude vint en moi, comme le calme après la tempête, un apaisement. On était là tous les deux, et c’est la que nous devions venir. Un accomplissement, la fin d’une quête entreprise sans trop savoir vraiment ce que l’on recherchait. Je me calmais à présent, heureuse et me sentant appartenir à quelqu’un, sentiment inconnu ou rejeté par moi dans les rapports hétérosexuels. Même avec ma copine, nos rapport ne sont pas basés sur une appartenance commune.

Une nouvelle expérience émotive enrichissante pour moi. Ce sentiment également de ne plus devoir à tout pris être pro active, comme je l’ai toujours été. Pouvoir me reposer sur quelqu’un ses choix, ses décisision. Quitte à subir, plutot qu’agir, la position apportait son lot de plaisir. Je m’imaginais même certains jours être forcée par mon chéri de faire l’amour avec lui, simplement parce qu’il avait envie de se vider en moi, alors que je n’en éprouvais pas le besoin. Même là un plaisir semblait naître à pouvoir vivre cette situation. Elle rejoignais sans doute ce fantasme d’être utilisée comme un objet de jouissance sans plus, sans avoir le droit ou la possibilité de dire non.
Une femme mariée, n’est elle pas finalement un peu une femme ayant un besoin d’être dominée ? A nouveau mon expérience de soumission, n’est elle pas à mettre en paralèle avec le mariage. Que de remises en questions dans toutes ces valeurs, ces prises de positions qui me semblaient il y a une semaine encore incontournable, et qui maintenant faisaient chanceler tout l’édifice de mes valeurs acquises. Certaines angoisses apparaissent également, mais la volonté de les surmonté est bien en moi.

(Joshua, concepteur de l'ile Tropical coast)

dimanche 17 juin 2007

Bye Bye Caibarien ?

Pendant l'absence de Ced, un brésilien est venu se présenter à moi, sur mon terrain. Ce dernier l'intéressait, et comme je l'avais mis en vente, certe à un prix assez élevé cela valait la peine que je lui accorde un peu d'attention bien sur. Il semblait assez intéressé, et revint même le soir une deuxième fois avec sa compagne. Bien qu'étant un magnifique terrain, et que je m'y sente chez moi, Caibarien reste lié à ma vie avec Lo ainsi que la maison d'ailleurs. Oh, l'histoire de Lo c'est déjà si loin et ne me perturbe pas le moins du monde, mais sur chaque objet ou je pose mon regard, il m'est désagréable d'avoir des souvenir, mêmes futiles qui me revienne à la mémoire concernant cet époque. Surtout que dans ces moments là, je suis dans les bras de Ced. L'autre raison pour me débarrasser de Caibarien, c'est la taille de ce dernier. Et la encore, même si Ced approuvait en aimant avoir de la place, cette portion de terrain est grande, trop grande pour seulment 2, de même que la maison. Lorsqu'il nous prend l'envie de faire l'amour Ced et moi, il semble que l'on doivent marcher un kilomètre pour atteindre notre chambre perchée tout en haut de notre "paquebot". La conséquences, c'est que nous passions beaucoup de temps sur la plage, ou sur le ponton, dont le sofa d'ailleurs conçu par Lo est très confortable, mais finalement très laid, ... et c'est Lo qu l'a fait. Ma piscine chérie, la Salle de bain, et toute la partie basse de la maison, ne sont pour ainsi dire jamais utilisées. Pourquoi dès lors s'attacher à une maison aussi grande.



De plus, il semble que Caibarien a une fâcheuse tendance de se vider de ses occupants ces derniers temps. L’île me semble de venir de plus en plus un lieu pour retraités SL. Pas de rencontres, Manolo’s bar déserté, et les terrains à vendre de plus en plus. A cela s’ajoute le fait que quelques propriétaires ne respectent pas le covenant (raison pour laquelle finalement on paie pour être sur une île, à savoir des panneaux criards rouges , de vente perturbant le paysages, et d’autres ont installés des barrières électroniques empêchant le survol de leur propriété, ce qui est aussi interdit dans la convention du Landlord) . Ceci étant, si le prix de vente est bon, il me parait raisonnable de vendre Caibarien pour un nouvel endroit.

Le départ de mon ex voisin Joshua Perenti, qui avait une maison magnifique dans les arbres sur la propriété à coté de la mienne avait déjà mis un froid dans la communauté de l’île. Sans m’en avoir averti, il apparaît que Joshua avait des ambitions sur SL beaucoup plus importantes que simplement faire une jolie maison sur une île paradisiaque.



En commençant à chercher un possible nouveau lieu de vie, d’abord sur Caibarien, mais rien ne me plaisait, je me dis que d’autres îles devaient finalement être aussi plaisantes que celle ci, et en ouvrant la carte de la région, apparaissait une île allongée très proche de l’atoll ou je vivais en ce moment : Tropical Coast. Je décidai d’aller faire un tour pour voir à quoi cela ressemblait. Et là, la surprise fut de taille. L’île est non seulement magnifique, mais a été développé avec un sens particulier d’échange dans la communauté. Des sentiers dans les montagnes, à l’image d’une colonne vertébrale sur l’île, permettaient de se balader sur l’ensemble de celle ci. Certains points agrémentent cette épine dorsale, telles que temple bouddhiste, cinéma de plein air, zone de ros avec vue sur un magnifique coucher de soleil, terrasse ou l’on peu danser tout en admirant ce magnifique paysage, un bar, ou encore une zone de camping, un observatoire pour observer les étoiles. En outre autour de l’île se trouve l’épave d’un vieux galion permettant de faire un peu de plongée, ou encore une zone aquatique publique pour du jet ski ou tout autre activité marine. Bref, cette île était très vivante, et ludique. Le paysage escarpé donnait un environnement moins ennuyeux à la vue et poussait à la ballade. Des terrains étaient à vendre. Pas trop cher d’abord, ils offrent ensuite des coefficients X1.5 et x1.8 pour les prims. Le loyer, est sensiblement inférieur à Caibarien, ce qui ne gâche rien. Le propriétaire de ces terres relativement accueillantes est…. Joshua Prenti. Ainsi voilà ce qu’était advenu mon voisin de Caibarien. Un Landlord décidé à proposer mieux et moins cher que son voisin Orion. Très attentionné pour les visiteurs, il me reconnut très vite et s’approcha de moi. Je lui expliquai mon intention de quitter Caibarien, et probablement d’emménager ici sur son île. IL m’expliqua qu’il en avait déjà 3, et qu’il planifiait d’en avoir 50, y compris des zones d’activités, des centres commerciaux, etc…. Il n’en fallut pas plus pour me convaincre que maintenant était vraiment venu le temps de quitter Caibarien.




Ced n’était toujours pas disponible, et je pris donc le conseil d’un ami, Firan pour me donner son avis sur mes nouveaux choix. Il confirma ma décision de changer de lieu de vie. Le soir arrivait, nous avons donc dansé à la vue magique du solieil couchant.(improbable perspective sur mes petites fesses hihihi ^_^)lever la jambe... mais seulement pour danser ^_^

Il restait maintenant à convaincre mon petit Ced d’une part, et trouver l’acheteur d’autre part.


Le brésilien ne se présentait plus, ce qui était navrant, car j’étais en position de force puisque c’était lui qui était venu me trouver sur le terrain pour me proposer d’acheter.

Toutefois, ayant fait visiter le terrain, et parfois la maison à pas mal de personnes rencontrées sur SL, certaines avaient marqué un intérêt sur celui-ci, et plus particulièrement un mec de Bruxelles, Manak rencontré dans un lieu contacts pour belges, du temps de Lo, il y a environ trois mois et qui m’avait annoncé être prêt à acheter si jamais j’étais vendeuse.
Mais à ce moment là je vivais avec Lo, et il était hors de question de quitter Caibarien.Une petite histoire sans lendemain du moins de mon côté avait eu lieu entre nous.
(Manak lors de notre rencontre il y a quelques mois)
A l'époque, nous avons baisé ensemble, le mec n'étant plutot pas mal et m'ayant bien fait la cours mal. J’aurai -j’espère- l’occasion sans doute de faire une page de mon blog sur notre aventure à tous les deux, comme je le fais petit à petit sur les personnes que j’ai rencontré sur SL. Toutefois, pour pouvoir vous raconter en détails cela, je souhaite avoir son accord. Manak. Je sais que tu me lis et que tu suis mon blog ;) alors donne moi ton accord pour que je puisse raconter notre aventure ^_^

Je décidai donc de contacter Manak, le belge, pour lui proposer de reprendre le terrain s’il était toujours preneur. Manak travaille également dans l’audiovisuel… C’est sur ce point que nous avions sympathisé lors de notre rencontre. Il mit un peu de temps à me répondre, car il dispose de parfois peu d’opportunités pour monter sur SL à cause de son boulot et sa vie de famille. Ceci dit, il restait très intéressé par le terrain. Il me proposa même d’habiter avec lui, mais comme bien évidemment je refusai, ayant l’intention de rester avec Ced, Il était un peu déçu car il avait des vues sur moi, et m’avait d’ailleurs sorti le grand jeu lors de notre rencontre. Si Lo, et ensuite Ced n’avaient pas été à mes côtés, j’aurais peut-être accepté. Toutefois, le fais que nous partageons le même genre d’activité ne me sied pas. Je n’ai pas envie de parler boulot sur SL, ni le rencontrer RL car nos mondes se touchent, et cela est assez probable dans nos professions. En plaisantant sur la négociation du prix d’achat, m’a dit qu’il accepterait le prix à condition de pouvoir passer une nuit avec moi sur SL. Il me prenait un peu pour une pute, mais je n’avais pas envie de perdre trop de temps avec ce terrain qui désormais ne m’intéressait plus. L’idée me traversa la tête d’accepter. J’étais flattée aussi , car la plus value que je souhaitais sur les terrain, aucune escort girl ne peux se vanter de se faire payer pour une telle somme, même au prix d’une nuit entière avec un client. Mais je n’ai jamais vraiment aimé cette idée de me faire payer pour baiser. Bien sur je fantasme sur le fait d’être offerte ou donnée comme un simple objet, dépossédée de mon droit de choix ou de refus , mais être payée pour ça c’est ramener l’acte sexuel à une valeur marchande qui me déplait.

Non….., le nouvel élément c’est Ced. Plus je vis avec lui, plus je me rend compte que quand il n’est pas là, il me manque, et je n’ai pas envie d’aller baiser ailleurs, ni avec d’autres mecs, ni même d’autres filles. Dès lors pourquoi chercher de nouvelles aventures sexuelles. Ced a sa place dans ma vie SL, elle est importante, elle l’a toujours été, même si nos rapports ont été mis entre parenthèse pendant un moment..

Si nous déménageons j’ai envie de commencer une autre vie avec lui , basés sur d’autres paramètres.


.... je suis prête !


Visitez ma page sur Flikr pour voir mes toutes dernières photos

suraya xeno. Get yours at bighugelabs.com/flickr