L'annonce de la vente à Ced - Jeudi 21 juin 2006
Il me fallait à présent raconter cela à Ced, faire face à ses reproches, ses déceptions à mon égard, sa peine ou sa tristesse. J'étais terrorisée de lui annoncer. Devant un danger, ou un obstacle, je vais toujours au devant de celui ci. Je déteste laisser pourir quoi que ce soit. Je devais donc l'affonter de face, et lui expliquer simplement ce qui c'était passé.
Je n'osais pas faire de longue phrases, aux aguêts de chacune de ses réactions.
Bon sang, est ce que cela avait vraiment valu la peine. Je pouvais aussi ne pas lui dire, mais je sentais déjà depuis la veille cette boule dans le ventre de lui cacher quelque chose qu'il était en droit de savoir. Ne pas lui dire, c'était vraiment le trahir. Lui dire, c'était le respecter, lui montrer mon amour, avec mes faiblesses, et ma force de l'affronter même dans les cas difficiles.
Ah, pour ça , notre relation qui avait pris un nouvel élan était déjà éprouvée, testée, et malmenée, à cause de moi.
Comment pouvais je me faire pardonner. Je voulais faire l'amour avec lui hier soir, mais lui dire après ce serait à nouveau comme une trahison. Je devais donc lui dire avant. tout ce apssait donc comme cela devait, il n'y avaient pas eu d'autres alternatives.
Ced compris vite que j'avais quelque chose à lui dire qui n'était pas plaisant, et moi je sentais le poids d'une responsabilité énorme reposer sur mes épaules. C'était le point de non retour, et je devais y aller. Je lui annonçai ce qui s'était passé.
Il m'écouta, eut un petit moment de colère contenue, puis vint la compréhension, et le pardon.
Il était si gentil avec moi, si tolérant.
Me sentant sale devant tant de générosité, j'avais envie qu'il se fache sur moi qu'il me punisse.
Il n'en fit rien.
je devais au moins lui offrir mon corps pour le purifier à ses yeux, lui laisser remettre son emprunte sur moi.
Je commençai à le carresser par dessus son boxer, introduisant mes mains entre le tissus et ses cuisses, pour atteindre ses couilles, les flatter, les carresser. Ma bouche s'approcha de l'endroit tu tissus ou l'on devinait son gland pointer fièrement. Mon souffle chaud humidifia cet endroit alors que mon autre main, toujours dans son boxer, saisissait la base de son penis. Je tirais délicatement vers l'arrière afin de décaloter son gland. Que je l'aime cette queue, la partie de Ced qui est à moi seule et me permet d'inverser les roles. Dans ma bouche, dans mes mains, il est à moi. J'avais très envie de le prendre en bouche, mais il m'annonça tout de go qu'il allait commencer par me prendre par derrière et m'enculer. C'était évident que son choix irait dans cette direction après ce que je lui avait annoncé. La domination suprême de l'homme sur la femme passe par la sodomisation, ce petit trou sensé donner tant de plaisir au male, sans specialement en donner à la femme (toutes les femmes ne sont pas anales). J'étais heureuse de cette décision, car j'allais me sentir lavée des évènements précédent par cette sodomie de Ced.
Je m'exécutai, me mis à 4 pattes, et écartai bien les fesses pour offrir à son membre cette partie très intime. Je m'attendais à une pénétration forte, sans ménagement, mais Ced, y mit assez de douceur, tout en restant ferme, et s'enfonça profondément en moi jusqu'à la garde. Je sentais son gland fouiller mon ventre à chaque poussée. Chacun de ses coups de reins me libérait un peu plus de l'angoisse. Je voulais maintenant qu'il jouisse en moi, et je travaillais en serrant les muscles autour de mon petit trou à chaque pénétration, comme pour l'aspirer en moi.
J'introduisit plusieur doigts dans mon vagin pour ressentir également la poussée de son membre de l'intérieur. Je dégoulinais et il ne me faudra pas longtemps pour jouir, suivi très vite par Ced qui déchargea sa liqueur blanche au fond de mon cul, du plus profond qu'il pouvait me pénétrer.
C'était si bon..... je me demandai si les évènements avec Manak n'en étaient pas finalement responsable ? Dans un contexte de douleur ou de souffrance..... le plaisir est sans doute plus fort.............