Bye Bye Caibarien ?
Pendant l'absence de Ced, un brésilien est venu se présenter à moi, sur mon terrain. Ce dernier l'intéressait, et comme je l'avais mis en vente, certe à un prix assez élevé cela valait la peine que je lui accorde un peu d'attention bien sur. Il semblait assez intéressé, et revint même le soir une deuxième fois avec sa compagne. Bien qu'étant un magnifique terrain, et que je m'y sente chez moi, Caibarien reste lié à ma vie avec Lo ainsi que la maison d'ailleurs. Oh, l'histoire de Lo c'est déjà si loin et ne me perturbe pas le moins du monde, mais sur chaque objet ou je pose mon regard, il m'est désagréable d'avoir des souvenir, mêmes futiles qui me revienne à la mémoire concernant cet époque. Surtout que dans ces moments là, je suis dans les bras de Ced. L'autre raison pour me débarrasser de Caibarien, c'est la taille de ce dernier. Et la encore, même si Ced approuvait en aimant avoir de la place, cette portion de terrain est grande, trop grande pour seulment 2, de même que la maison. Lorsqu'il nous prend l'envie de faire l'amour Ced et moi, il semble que l'on doivent marcher un kilomètre pour atteindre notre chambre perchée tout en haut de notre "paquebot". La conséquences, c'est que nous passions beaucoup de temps sur la plage, ou sur le ponton, dont le sofa d'ailleurs conçu par Lo est très confortable, mais finalement très laid, ... et c'est Lo qu l'a fait. Ma piscine chérie, la Salle de bain, et toute la partie basse de la maison, ne sont pour ainsi dire jamais utilisées. Pourquoi dès lors s'attacher à une maison aussi grande.
De plus, il semble que Caibarien a une fâcheuse tendance de se vider de ses occupants ces derniers temps. L’île me semble de venir de plus en plus un lieu pour retraités SL. Pas de rencontres, Manolo’s bar déserté, et les terrains à vendre de plus en plus. A cela s’ajoute le fait que quelques propriétaires ne respectent pas le covenant (raison pour laquelle finalement on paie pour être sur une île, à savoir des panneaux criards rouges , de vente perturbant le paysages, et d’autres ont installés des barrières électroniques empêchant le survol de leur propriété, ce qui est aussi interdit dans la convention du Landlord) . Ceci étant, si le prix de vente est bon, il me parait raisonnable de vendre Caibarien pour un nouvel endroit.
Le départ de mon ex voisin Joshua Perenti, qui avait une maison magnifique dans les arbres sur la propriété à coté de la mienne avait déjà mis un froid dans la communauté de l’île. Sans m’en avoir averti, il apparaît que Joshua avait des ambitions sur SL beaucoup plus importantes que simplement faire une jolie maison sur une île paradisiaque.
En commençant à chercher un possible nouveau lieu de vie, d’abord sur Caibarien, mais rien ne me plaisait, je me dis que d’autres îles devaient finalement être aussi plaisantes que celle ci, et en ouvrant la carte de la région, apparaissait une île allongée très proche de l’atoll ou je vivais en ce moment : Tropical Coast. Je décidai d’aller faire un tour pour voir à quoi cela ressemblait. Et là, la surprise fut de taille. L’île est non seulement magnifique, mais a été développé avec un sens particulier d’échange dans la communauté. Des sentiers dans les montagnes, à l’image d’une colonne vertébrale sur l’île, permettaient de se balader sur l’ensemble de celle ci. Certains points agrémentent cette épine dorsale, telles que temple bouddhiste, cinéma de plein air, zone de ros avec vue sur un magnifique coucher de soleil, terrasse ou l’on peu danser tout en admirant ce magnifique paysage, un bar, ou encore une zone de camping, un observatoire pour observer les étoiles. En outre autour de l’île se trouve l’épave d’un vieux galion permettant de faire un peu de plongée, ou encore une zone aquatique publique pour du jet ski ou tout autre activité marine. Bref, cette île était très vivante, et ludique. Le paysage escarpé donnait un environnement moins ennuyeux à la vue et poussait à la ballade. Des terrains étaient à vendre. Pas trop cher d’abord, ils offrent ensuite des coefficients X1.5 et x1.8 pour les prims. Le loyer, est sensiblement inférieur à Caibarien, ce qui ne gâche rien. Le propriétaire de ces terres relativement accueillantes est…. Joshua Prenti. Ainsi voilà ce qu’était advenu mon voisin de Caibarien. Un Landlord décidé à proposer mieux et moins cher que son voisin Orion. Très attentionné pour les visiteurs, il me reconnut très vite et s’approcha de moi. Je lui expliquai mon intention de quitter Caibarien, et probablement d’emménager ici sur son île. IL m’expliqua qu’il en avait déjà 3, et qu’il planifiait d’en avoir 50, y compris des zones d’activités, des centres commerciaux, etc…. Il n’en fallut pas plus pour me convaincre que maintenant était vraiment venu le temps de quitter Caibarien.
Il restait maintenant à convaincre mon petit Ced d’une part, et trouver l’acheteur d’autre part.
Le brésilien ne se présentait plus, ce qui était navrant, car j’étais en position de force puisque c’était lui qui était venu me trouver sur le terrain pour me proposer d’acheter.
Toutefois, ayant fait visiter le terrain, et parfois la maison à pas mal de personnes rencontrées sur SL, certaines avaient marqué un intérêt sur celui-ci, et plus particulièrement un mec de Bruxelles, Manak rencontré dans un lieu contacts pour belges, du temps de Lo, il y a environ trois mois et qui m’avait annoncé être prêt à acheter si jamais j’étais vendeuse.
Mais à ce moment là je vivais avec Lo, et il était hors de question de quitter Caibarien.Une petite histoire sans lendemain du moins de mon côté avait eu lieu entre nous.
(Manak lors de notre rencontre il y a quelques mois)
Non….., le nouvel élément c’est Ced. Plus je vis avec lui, plus je me rend compte que quand il n’est pas là, il me manque, et je n’ai pas envie d’aller baiser ailleurs, ni avec d’autres mecs, ni même d’autres filles. Dès lors pourquoi chercher de nouvelles aventures sexuelles. Ced a sa place dans ma vie SL, elle est importante, elle l’a toujours été, même si nos rapports ont été mis entre parenthèse pendant un moment..
Si nous déménageons j’ai envie de commencer une autre vie avec lui , basés sur d’autres paramètres.
.... je suis prête !