14 Mai 2007 - Acropolis
Souvenir de cette nouvelle soirée inoubliable.
Après un peu d'entretien sur mes machines au skyport, Ced m'appelle et me propose de le retrouver dans un endroit que nous connaissons bien: Acropolis Island.
A l'arrivée, je ne le trouve pas. Il me propose de le chercher. L'endroit est vaste et les cachettes nombreuses. Le scan sur la carte peut m'aidre, mais il y a pas mal de monde dans la zone. De plus cet endroit regorge de grottes et de passages
sous cascades. Avec un indice qu'il me donne, je n'ai plus de doute, et je sais ou me rendre.
Il m'attend là couché au fond de cette grotte mystérieuse dont la roche fluorescente éclaire l'intérieur. Une eau tiède coule à mes pieds. Ced m attend , étendu là à même le sol.
Cet endroit a déjà été le théatre de nos rencontres passées, tendres, nostalgiques. du temps ou Ced et moi, c'était un temps révolu.
C'était agréable de le retrouver là. Je m'étendis à ses côtés
Ced aime me surprendre, et y avait disposé d'autres boules animées que celles que l'on trouve sur place, et que je connaissais.
A peine étendue, il entrepend un long baiser fougeux, et ensuite descend petit à petit sur mes seins, mon nombril....Il ne va tout de même pas...
Malgré mes vetements, ses baisers se sont emparés de mon sexe, et il colle son visage dans le creux de mes cuisses. Je n'oppose aucune résistance, la progression de ses mouvement, la lenteur de ses gestes, précis, tendres, me laissent m'abandonner à lui.
Déjà il simule des mouvements de va et vient bien que nous soyons toujours habillé. Nous ne sommes pas seul dans cette grotte, et l'indécence de nos mouvement amoureux vont attiré d'autres personnes, c'est certain. Mais le plaisir monte en moi, et je ne peux pas laisser mon homme comme ça car je sens bien la bosse qui grossit entre ses jambes et percute à chaque fois mon petit puit d'amour, obstrué par de futiles bouts de tissus.
La chaleur s'empare de son corps. J'ai tellement envie qu'il m'arrache mes vetements là et me fasse l'amour à même le sol, et tant pis pour les autres, ou plutot tant mieux, car leur présence ne fera que renforcer l'excitaion qui m'anime, et nous sommes si beau là tous les deux. Prends moi Ced, je suis à toi, toute à toi.
Ced, ote son futal, et m'aide à me déshabiller. Son gland se frotte déjà contre l'entrée de mon petit abricot, mure, juteux, pret à engloutir son membre avide de ma moiteur interne. Sa pénétration, douce mais vigoureuse me fait cabrer les reins
Nos regard se croisent, un moment, le temps de reprendre notre ballet amoureux
Les visiteurs de la grote, ébahis, nous observent un moment. Le regard de cette femme se pose sur nous. Que pense t'elle ? Elle m'envie, à coup sur d'avoir les faveur d'un homme si beau, si tendre
Celui ci voudrait participer. Il me draguera même par IM, mais ses fantasmes de se taper une Eurasienne me laisse de glace. De plus, son interpretation d'assimiler SL à un simple chat pour faire des rencontres RL ne m'intéresse pas
Ced qui me comble et accélère ses mouvements. Je m'accroche à ses fesses et amplifie le mouvement pour bien le sentir au fond de moi à chaque pénétration. Nous allons jouir ensemble tout les deux. Nos cris de plaisir feront écho dans la grote et tous seront témoins du plaisir partagé entre Ced et moi. Il me prendra encore par derrière et jouira une seconde fois dans mon anus
avide lui aussi de son lait intime
Nous nous rhabillons, et quittons cet endroit enlacés. Le délicieux sperme chaud de Ced, coule entre mes cuisses
En sortant de la grotte, il fait déjà nuit, les plantes exalent leurs parfums nocturnes. Les bruits de la nuit, mystérieux rendent l'endroit charmant, parfois inquiétant. Je me blottit dans les bras de mon homme, tandis qu'un loup hurle au loin.
Nous nous arretons un moment. Ced est incorrigible, il recommence à me carresser les fesses, et se remet à bander. Il déchargerait bien une troisième fois dans ma bouche, certain d'avoir pu me remplir par tout les orifices possible que je puis lui offrir.
Mais il es tard mon chéri, et RL nous rappelle cruellement que nous devons dormir... parfois.
Demain sans doute, je te boirai.