On ne s'est pas vu beaucoup Ced et moi ces derniers jours. Ced en a profité pour créer son blog également, et j'eus l'occasion de le lire hier soir. Il y parle de son arrivée sur SL, de notre rencontre, de ses premiers sentiments vis à vis de moi.
J'étais émue. C'est une nouvelle expérience pour moi, car c'est la première fois que quelqu'un écris sur moi, parle de moi. Sensation étrange et tellement différente d'un dialogue direct, lorsque
l'on se retrouve à la 3ème personne du singulier dans un texte. Un peu comme si l'on écoutait une conversation ou l'on parle de vous, mais que les gens ne savent pas que vous écoutez. J'étais franchement troublée et excitée par cette nouvelle expérience générant des émotions inconnues chez moi. J'encourageai Ced à continuer. Je sais que je vais ressentir sans doute de la gène, voire de la honte en lisant certains passage, et cela va m'exciter également car cela titille mes fantasmes exhibitionnistes.
Arrivant sur SL assez tot, j'en profite comme à l'habitude pour revisiter mes différents Landmarks, ayant besoins d'êtres mis régulièrement à jour. Depuis peu j'en profite également pour prendre une photo de chaque endroit. SL est un monde en mutation, et j'aime garder des traces qui figent le temps et l'espace, des morceaux de souvenirs. Ce blog en fait partie d'ailleurs. Nous passons une grande partie de notre vie à vivre et dépendre de nos souvenirs, ceux ci ont une place très importante pour chaque personne que nous sommes. SL ne déroge pas à la règle.
Lorsque Ced apparut sur le grid, j'étais à Extasia sur une plage que je venais de découvrir, en compagnie d'un Canadien, et (...pour une fois) nous ne faisions que parler et échanger divers Landmarks intéressants.
Je proposai à Ced de me chercher sans lui donner l'endroit précis de ma position. Il est certain qu'à ce jeu là il est plus doué que moi, et réussit à me trouver en à peine quelques minutes. Le canadien s'est vite senti de trop dans notre couple, et décida d'aller visiter d'autres lieux.
Nous décidâmes Ced et moi de rentrer à la maison ou une surprise m'attendait. Ced me fait souvent des surprises et j'adore ça. Après m'avoir payé sa participation sur les terrain pour les 4 prochaines semaines, il dévoila ma surprise pour la soirée: un magnifique voilier.
Il m'invita a bord pour faire le tour de l'île. Quel moment formidable qui me permit de découvrir l'île ou j'habitais sous un nouvel angle. Un pur moment de plaisir, comme quoi le sexe n'est pas tout sur SL.
Je ressentais des impressions de bien être et de plénitude. et puis Ced, toujours prompt à me faire plaisir et à me surprendre, complice de mes meilleurs moments SL. L'instant était empreint d'un certaine extase. Je décidai de retirer mon pantalon et mon chemisier, et rester en petite tenue pour profiter du vent qui me caressait ma peau.
Il accosta le bateau au Manolo's bar, un endroit que nous fréquentons régulièrement sur la plage de l'ile. Je me changeai rapidement pour porter un bikini plus de circonstance.
Nous montâmes au premier, très confortable pour passer un moment à parler, au frais à l'ombre sous sous les ventilateurs et laissant passer le vent par les venelles entrouvertes.
Ced avait également fait quelques folies à mon intention: il avait acheté plusieurs queues pour que je puisse choisir et décider celle qui me plaisait le plus.
Quelle femme peut
rêver de cela en
RL: choisir la queue que son homme va porter.... Devant cette
séance de transformation des corps je me laissai aller également à lui montrer tout ce que j'avais "en stock" concernant mon apparence, et qu'il ne verrait en principe jamais:
skins,
shapes, etc...
Je me laissai également aller à lui rappeler l'apparence que j'avais à l'arrivée: la mignonne petite punk japonaise qui l'avait fait craquer dès son arrivée, et comme il le racontait si bien dans son blog. J'aiguisais les sens de
Ced, qui avait maintenant une sérieuse envie de me sauter dessus et de me culbuter là sur le divan que je squattait depuis un moment.
Mais les boules nécessaires n'étant pas là, nous devions bouger de toute façon. Je me proposai même de le sucer dans la cabine du bateau, mais ce dernier ne le permettait pas non plus.
Il me proposa de me rhabiller , et il m'emmena danser à
Karnak, un autre de nos endroits mythiques. Il espérait implanter des boules quelque part dans un coin, mais la nature du
terrain a changé sans doute, et elles étaient inactives.
Le temps passait. Il
commençait à se faire tard, et je lui annonçai
que hélas il faudrait qui se la mette sous le bras pour ce soir.
Ça ne lui plut pas du tout, et
m'annonça que pour tant de dédain il allait me punir. C'est vrai que mon petit
Ced avait une fois de plus tout fait pour moi ce soir, et j'allais le planter là simplement sans même une petite
gâterie. J'étais une mauvaise fille, dénuée de toute
reconnaissance pour tous ces efforts que mon amoureux faisait pour moi et mes caprices.
Il rentra à la maison et me
téléporta immédiatement. Là il me prit par le poignet et m'amena à la boite à punition, qui sert à dresser les salopes de mon genre. Il m'ordonna de me mettre nue, de ne garder que mes bras, et de m'asseoir dans la boite, qu'il referma
aussitôt. Il se mit nu ensuite et se demanda si il allait d'abord me défoncer mon arrogant petit cul, ou aller décharger ses couilles dans ma bouche. Il se décida pour cette
dernière, et
s'enfonça de tout son long jusqu'au fond de ma gorge.
J'étouffais presque, mais immobilisée par la machine et la partie en métal qui me maintenait la bouche ouverte, je ne pouvais rien. j'étais sa chose, et il ne me restait qu'à espérer qu'il jouirait vite pour
alléger ma douleur. Ma bouche ressemblait à un é
é
vier dans lequel pouvait se vider n'importe quel liquide.
Je ne sentais déjà plus mes
lèvres endolories par le mouvement régulier de ses
pénétrations que ma langue tentait de freiner, mais en vain. Il se retira, et décida de s'attaque à l'autre côté de la boîte, ou mes fesses étaient ouvertes de la manière la plus obscène qui soit, dévoilant sans pudeur mon petit abricot qui
déformé par la position semblait à une bouche verticale vorace
prête à tout engloutir à proximité. En dessous, mon anus très fermé
et arrogant, mais très visible semblait dire "ici de
toute façon on n'entre pas" . Dans cette boite, avec les poignets et les chevilles immobilisés dans des trous sur la face du dessus, et le reste de mon corps à l'intérieur inaccessible, je ne suis plus que de simple trous de chair laissés au bon vouloir de celui qui veut bien se vider dedans.
Ced, encore gentil décida que l'humiliation était suffisamment importante, et déchargea de longues coulées de sperme dans mon vagin, sans s'attaquer à mon petit trou rebelle un petit peu plus bas.
Ouf. Je pouvais espérer que mon supplice s'arrêterait là pour ce soir. Ce qui fut le cas. Après être sortie de la boite à punition, il me permit de me changer et de mettre un robe de nuit pour terminer la nuit dans ses bras dans notre lit. Ah oui, .... j'oubliais de vous dire: la boite à punition, c'est aussi un caprice à moi,
hihihi....